Rien ne sera possible sans la communication.
Une filière, c’est une décision. Celle de se réunir, de passer du temps ensemble pour prendre en main son destin. Les deux sont importants – le fait même de former un collectif autant que l’idée de prendre une direction commune. Il me semble qu’on avance beaucoup ainsi, et que plus les défis sont grands, plus l’intérêt du collectif se fait sentir. Ceux que notre profession affronte entrent en résonnance avec ceux du monde.
Le premier enjeu, alors que la crise du COVID bat son plein, est celui de la résilience économique de la filière. De notre résistance économique dépendra notre capacité à être aux rendez-vous du futur : la contribution à une meilleure consommation, plus raisonnée, plus durable, l’accélération de la transition écologique, la réduction de la fragmentation sociale.
Le fait que ces dernières semaines, notre profession ait été sous le feu des projecteurs, montre d’ailleurs son importance dans toutes les dynamiques qui doivent s’enclencher pour infléchir la donne. Rien ne sera possible sans la communication. Chacun est convaincu que notre métier doit accompagner les évolutions nécessaires. Nous avons mis en place les conditions d’une vraie discussion, et la concertation entre toutes les parties prenantes avance. Son objectif sera de produire, en faveur de la transition, un équilibre entre du législatif et de l’engagement volontaire.
Nous devons aussi mettre en œuvre pour nos entreprises l’inclusion et l’égalité auxquelles nous aspirons. Il y aura donc du travail, à l’intérieur de nos entreprises, et à l’extérieur dans nos relations avec les marques, avec les citoyens et consommateurs, avec tous les publics, pour que notre métier réussisse le changement d’ère et aide toute la société à faire sa transition. Je vous donne rendez-vous le 27 novembre pour un premier point d’étape et de débat aux États Généraux de la Communication.
À bientôt,