Rien ne sera possible
sans la communication.
Une filière, c’est une décision. Celle de se réunir, de passer du temps ensemble pour prendre en main son destin. Les deux sont importants – le fait même de former un collectif autant que l’idée de prendre une direction commune. Il me semble qu’on avance beaucoup ainsi, et que plus les défis sont grands, plus l’intérêt du collectif se fait sentir. Ceux que notre profession affronte entrent en résonnance avec ceux du monde.
Le premier enjeu, alors que la crise du COVID bat son plein, est celui de la résilience économique de la filière. De notre résistance économique dépendra notre capacité à être aux rendez-vous du futur : la contribution à une meilleure consommation, plus raisonnée, plus durable, l’accélération de la transition écologique, la réduction de la fragmentation sociale.